Voilà qu'il faut donc, après réflexion, que je m'y colle !
En préambule, comme je me suis permis d'évoquer mon itinéraire politique et ma désertion de l'action militante pendant un petit paquet d'années, je vous mets à l'aise, si vous voulez l'affirmer, ne vous gênez pas :
peut-être bien que "LE FONT DE GAUCHE, JE N'AI PAS COMPRIS" !
Comme j'assume la possibilité de n'y avoir rien compris, je peux me permettre des propos fantaisistes qui n'engagent que moi !
A commencer par mon regard sur la composition actuelle du Front de Gauche :
Je vois une immense richesse dans le nombre et la pluralité d'origines des organisations formant cet ensemble. Mis à part si les "petites organisations" ne sont là que pour compter les points entre les deux principales : le Parti Communiste Français et le Parti de Gauche !
Quand je lis ou entends les points de vue de certains militants de ces deux partis, j'ai vraiment une impression surprenante : celle d'y retrouver des arguments contre le Parti de Gauche qui m'ont fait un temps rejeter la naissance du Front de Gauche...Ses dirigeants et militants seraient des réformistes qui n'auraient à leur actif aucun brevet révolutionnaire, ils proviendraient tous, ou presque, de ce parti socialiste honni qui nous fait tant de mal, ils ne seraient là que pour accompagner en douceur le PCF vers le chemin de la reddition, dont l'étape ultime se situe rue de Solférino.
Ils n'auraient comme dessein machiavélique que d'achever le travail entamé avec brio et succès par feu François MITTERRAND : faire disparaître à tout jamais le vaillant parti communiste !
Mais j'entends aussi bien des propos qui m'ont fait, il y a près de 30 ans, remettre en cause la foi inébranlable que j'avais à l'égard de l'engagement communiste : le PCF serait arcbouté sur des positions dogmatiques obsolètes, refusant d'en débattre ou même de les confronter à une réalité nouvelle, ses dirigeants demeureraient staliniens et leur union avec le parti de Gauche ne leur servirait qu'à se refaire une santé !Après réflexion, sans prétendre à la qualité marxiste-léniniste de mes analyses, mais simplement à une sorte de bon sens populaire, je me dis :
Si les dirigeants, responsables, militants du PG étaient des réformistes sociaux-démocrates, opportunistes et carriéristes, ils seraient au PS, parti qui a toutes les qualités pour répondre à de tels objectifs : le parti des "winners" qui a et attribue les places, qui prend rarement le risque de déplaire et qui de plus offre une palette de tendances permettant de trouver facilement une petite place tranquille. Pourquoi ces "idiots" là se fatiguent-ils à créer une nouvelle organisation, à partir "de rien", à manquer de moyens financiers, à n'avoir aucune place à distribuer, à tenter de rassembler, à tenir aux citoyens un langage de responsabilité bien plus difficile à entendre que des promesses sauce hollandaise ?
Je poursuis ma réflexion : les "tiraillements" dont je parle ont-ils lieu dans le cadre d'un rapport de forces dont l'objectif est d'être le "patron" du Front de Gauche ? Ne soyons pas des bisounours, il y a sans doute un peu de cela...Et je trouve même cela assez légitime compte tenu de l'histoire...
MAIS, ALORS, ON VA GÂCHER LA BASTILLE, LE CAPITOLE, LE PRADO, LES QUATRE MILLIONS DE VOIX, L'ESPOIR, LA FRATERNITÉ DE CETTE GAUCHE RETROUVÉE, LES PERSPECTIVES COMMUNES ?
Moi, à mon petit niveau, j'ai quelques idées sur ce qu'il faudrait faire pour poursuivre dans cet élan...
Je n'ai pas de carte !!! Adhérent direct au Front de Gauche, pourquoi pas ? Mais là-dessus aussi, ça tiraille !
Moi, je vois très bien la possibilité de préserver l'indépendance de chacune des organisations et d'avoir en même temps des adhérents directs à l'ensemble...
Expliquez-moi, camarades !!! Ça urge, il y a trop de gens qui souffrent de la situation actuelle pour continuer à chipoter...On fait ? On ne fait pas ? On fait à moitié ? On se met à la remorque des syndicats ou on provoque des mouvements, des luttes ? On attend les prochaines élections ?
Expliquez-moi, camarades...j'ai quelques propositions à faire...Je les fais où, à qui ?
Allez, je ferai un troisième article sur ces propositions...C'est mon remue-méninges perso ! En attendant, en cliquant sur "commentaires", donnez-moi votre avis !!!
N'étant membre de rien mais interréssé par tout projet à la gauche du PS, je trouve vos questions intérressantes. L'idée d'un front de gauche me parait bonne mais ce qui me dérange c'est que le projet reste nébuleux et l'attelage pas trés sur. Ce qui m'éxcéde le plus c'est la culture de la division et de ce point de vue le FDG n'a rien réglé. Il faut aller au bout du projet et qu'il y'ai une véritable fusion de toutes les composantes. Avoir un PC en France cela ne veut plus rien dire, avoir des groupuscules inconnus non plus...Il faut créer la confédération de tous les gens qui se situent à la gauche du PS sur la base d'une charte qui porte un projet politique capable d'entrainer une adhésion à un changement profond de la société. Il faut se tourner vers l'avenir admettre et comprendre que le temps est venu de tourner la page.
RépondreSupprimerBonjour Jemamo !
RépondreSupprimerNous sommes nombreux; semble-t-il, à nous poser des questions sur ce que doit devenir ce Front, que pour ma part, j'aimerais que l'on appelât FRONT POPULAIRE plutôt que Front de Gauche, mais ce n'est pas l'essentiel ! Je suis en revanche en désaccord avec vous sur plusieurs points :
-la fusion tournerait à la confusion...confédération oui, formation unique,non sinon tout le monde serait déjà dans le même parti s'il n'y avait pas de différences entre les uns et les autres...
- je ne vois pas comment un pays comme la France,celle des révolutions, pourrait se passer d'un parti révolutionnaire porteur d'une Histoire telle que celle du PCF...Cela serait à mon sens amputer le mouvement ouvrier de sa composante historique essentielle !
Pour moi il ne fait aucun doute que les dirigeants PCF ont bricolé à plusieurs reprises une union avec le PS .C'est aussi pour cela que l'on perdu des voix.
RépondreSupprimerD'un autre coté pour moi il ne fait aussi aucun doute que les militants et sympathisants de base de chaque parti ont une volonté commune , celle de l' humain d' abord.
Et un élément dont il faut tenir compte c' est la puissance des médias tous de doite même ceux qui se prétendent de gauche et qui cassent du FdG ( par exemple l' Est républicain parle de la Rochelle tous les jours depuis lundi et pas un seul mot sur Grenoble ).Ces medias jouent le jeu d' un anti communisme et décrivent Mélenchon comme violent , ne parlent pas du MES et ses conséquences ...
Et plus tard les communales ou vous avez à l' heure actuelle des PS et des PCF confrontés aux même réalités et dont certains parlent déjà de ne pas taper trop fort pour ne pas casser de futures alliances
La seule solution à mon avis reste un Front de Gauche de différents partis et sensibilités mais ou les orateurs comme Mélenchon bien sur , mais aussi Laurent,Buffet,Autain,Coquerel ... et tous les autres puissent parler sur la base de l'humain d' abord et également démontrer toutes dérives du gouvernement actuel
Il faut une rupture franche avec le Parti Sournois de Hollndréou , même si cela risque de ne pas etre compris au début , je suis sur que nous gagnerions réellement sur des valeurs de gauche
Je suis pleinement d'accord avec une rupture franche avec le PS et la défense de valeurs de gauche authentiques ! Quel travail de pédagogie ! Cela remet en cause des dizaines d'années de pratique d'union de la gauche, de gauche plurielle, etc et de "discipline républicaine"
RépondreSupprimerTout faux, vous avez raison vous n'avez rien compris.
RépondreSupprimertout ça se terminera dans un bain de sang politique, Mélenchon rejoindra Hamon Emmanuelli et les autres gauchistes du PS et le pcf restera avec le grand mou et la mémère et leur 2%. Entre temps, Bayrou et quelques centristes auront rejoint Hollande et le tour sera joué : républicains contre démocrates + extreme droite à 5% extreme gauche à 4 %
Les questions que tu pose sont mon avis bonnes ,le pourquoi du comment aujourd'hui me parrait prématurer. Nous sortons des élections ,maintenat ,vient le moment de l'action ,cela se ferat surement avec la contributions des organisations syndicales ,je ne vois aucun mouvement spontaner ce dessiner maintenant.
RépondreSupprimerLe fait que les remues -méninges commencent peut avoir un impact sur la conscience politique de cretains "ont pas tous eut la chance d'avoir des parents communistes " comme moi ,cela dit c'est surement ça et la fètes de L'Huma que je sens comme un nouveaux souffle révolutionnaire sur la classe ouvrière ,les licenciement boursiers que nous avions dénoncer continues de plus belle ,la dégradation du pouvoir d'achat se fait ressentir de plus en plus ,tous ces vecteurs risque de s'enflamer a la moindre étincelle.Maintenant je ne suis pas devin juste un vieux militant qui avait 20piges en 68 et qui voudrait bien reprendre du service ,mais pour ça il nous faut le rapport de force ,et je croit que le front de gauche est le meilleurs choix pour nous tous ,cela ne répond peut'ètre pas a ta question de fond ,mais sur la forme c'est mon avis perso .
Amitiées Jean claude Lillier
Anot Nimes, vous avez peut être raison, mais pour ma part je ne suis ni voyant, ni pronostiqueur sportif ou hippique ! J'essaie de réfléchir...Essayez, vous verrez !
RépondreSupprimerMerci Jean*Claude, pour ta première contribution sur le blog...Je sais que tu le lis fréquemment sans pour autant participer ! Je pense que la situation politique est si compliquée que toute réflexion est utile...Je pense, comme toi, que l'approfondissement de la crise peut conduire à un regain de combattivité et une prise de conscience. Mais nous savons hélas que cela peut mener à l'accablement, au repli sur soi, aux solutions extrémiste...
RépondreSupprimer"extrémisteS", bien sûr !
RépondreSupprimerjolie analyse!!!;-) le fdg c'est la nécéssité de reconstruire une force conséquente de la Gauche à la suite de la dérive, difinitivement, social-libéral, du PS. depuis 2002 la Camarade Buffet n'aura cesse d'essayer des choses... C'était ça ou politiquement disparaitre. deux solutions furent trouvées... celle d'une union de divers courant avec un programme partagé et celle du NPA en tant que structure de masse.... le NPA et le FDG sont dans la même logique mais avec des solutions différentes. Le FDG est la solution la plus républicaine. Le NPA est une voie alternative. à mon sens les deux se complètent (ce qui n'est pas consensuel!:-)) que dire d'autre que ce que dit ce blog? très bien écrit....
RépondreSupprimerMerci, Léo Artaud, pour ce nouvel éclairage qui met en évidence le rôle du NPA, ce qui me paraît effectivement indispensable. Malgré ses récentes difficultés, ce parti s'inscrit lui aussi dans cette mouvance de la gauche radicale, la vraie gauche et ses forces ne doivent pas être négligées. Je pense que lorsque les positions des uns et des autres seront parfaitement claires à l'égard du PS et de sa "gouvernance", il y aura bien du chemin à faire ensemble et un rapprochement plus important pourra s'opérer. Cela dit, c'est dans les luttes que militants du FG et du NPA se retrouveront forcément à la rentrée et ça, c'est irremplaçable et ça crée des liens solides ! A bientôt sur ce blog...
RépondreSupprimerbonsoir, à tout le monde,
RépondreSupprimervoilà une sujet important qui ne peut qu'apporter que des commentaires diversifiés, voire contradictoires ..
Je souscris complètement à celui de Jemamo qui rejoint en grande partie un de mes posts précédents. Je sais que Bernard ne sera pas d'accord... mais c'est bien là le but du blog que d'échanger des idées :-)
En effet, le PCF a bien dans son histoire passée des mérites non équivoques, qui obligent au respect et que nous devons conserver en mémoire collective.
Mais il est malheureusement lié aussi aux dérives du PCUS, qu'on le veuille ou non, ce qui amène des critiques et la situation actuelle lors des élections où l'on voit un score PC s'amenuisant au fil des années (cf un précédent commentaire su le sujet)
Donc pour éviter tout amalgame, garder en tête le passé glorieux du PCF et pour "oublier" les dérives, il me semble qu'il devrait se reconstituer dans une organisation plus large, plus actuelle anti-libérale.
Le PS actuel du fait de son alignement à une politique libérale ne peut pas être parti prenante dans une telle organisation... tout au plus un allié selon les circonstances.
Ceci montre un problème de sémantique. Peut-on être de gauche et libéral? Je pense que non, c'est un oxymore. Mais supposons cela possible. Nous aurions alors une gauche libérale avec le PS (j'ai du mal à l'écrire) et à sa gauche une autre gauche non libérale.
Pour cette gauche anti-libérale, qu'est ce qui gêne pour que l'on n'ait pas une seule organisation? Confusion entre quoi et quoi? Quels sont les vrais motifs de désaccords ou de divergence? Je n'arrive pas à les cerner (manque de formation de ma part certainement peut être) sauf des problèmes de personnes et d'égos.
Et une telle organisation ne changera en rien le passé du PCF.
Le FdG me semblait être les prémices à une telle organisation ou parti politique.
Bonsoir René ! Sans une organisation politique, la lutte contre les capitalistes ne peut aboutir ! Pour moi, la "surprise" des présidentielles a été la campagne de JLM qui, sur certains thèmes, était "plus à gauche" encore que la direction du PC...C'est, je crois, paradoxalement et de manière à mon sens fort inattendue, ce qui a mobilisé de nombreux électeurs, avec une percée chez les jeunes, et qui a provoqué le retour de nombreux militants anciens du PCF qui considéraient que la direction communiste avait pris un virage droitier, notamment lors de ses participations aux gouvernements socialistes, en particulier avec les privatisations !
RépondreSupprimerLe Front de Gauche représente indubitablement aujourd'hui ce que j'appellerai une "base sociale"...
La question de l'existence d'un seul ou de plusieurs partis me semble reposer sur la problématique du programme...Soit l' Humain d'abord est le programme du PC ET du PG, et un seul parti suffit...soit il existe à côté de ce programme de compromis un PROGRAMME COMMUNISTE et cela justifie pleinement l'existence d'un PARTI COMMUNISTE partenaire au sein du FG des autres formations...Le problème me semble être que même en cherchant bien, on a du mal à trouver un programme authentiquement communiste !!!
Ce qui menace l'existence même du PC, ce n'est pas le parti de gauche ou la participation au front de gauche ! C'est l'abandon d'une ligne marxiste par sa direction et l'insuffisance de démocratie en son sein !
Finalement ce que vous voulez c'est un programme marxiste porté par le parti communiste?
RépondreSupprimerJemamo...Ce que je souhaite, c'est un Front populaire (ou Front de gauche) dans lequel toutes les organisations, indépendantes, soient à égalité de droits et de devoirs. Que ce front s'appuie sur un programme novateur de rupture avec le libéralisme...Mais ce programme ne sera pas pour autant un programme communiste, puisqu'il sera un programme négocié, donc de compromis. Conserver un parti communiste avec un programme communiste, au-delà du programme de compromis, n'est pas un repli identitaire!Le PCF dont je rêve n'est pas ce parti sectaire et replié sur lui-même, sinon j'en ferais partie !!!
RépondreSupprimerLa transformation sociale de la Société, à mon sens, peut se faire dans le cadre du Front Populaire (FG)...Mais s'il apparaissait un jour utile pour des masses éduquées et formées d'aller au-delà ? On passerait de la transformation sociale à l'éradication du capitalisme et c'est là que se justifie totalement l'existence d'un parti communiste marxiste, d'après moi !En effet, ce parti a vocation à rassembler "les héritiers de la Commune", comme son nom l'indique...Stalinisme, maoïsme, trotskysme et autres ne sont que des accidents de parcours : il faut rassembler les communistes ! Mais cela ne signifie pas que les ouvrages de référence des "pères fondateurs" doivent devenir des "bibles" !
La tâche des communistes aujourd'hui est de concevoir un programme marxiste pour se débarrasser des déviations staliniennes, maoïstes, etc. qui ont été faites sur le dos et au mépris des Peuples.Le "socialisme réel" a échoué, c'est incontestable ! Un travail passionnant s'engage, que mèneront peut-être à terme nos petits-enfants : concevoir, sans modèle existant, un projet de société sans classes ! Dans ce travail, à mon sens, un parti communiste porteur d'un marxisme actuel est irremplaçable !
Le front de gauche est forcément l'avenir des travailleurs qui veulent dégager le capitalisme et son cortège de misere et d'injustice. Rassembler toutes les forces citoyennes qui veulent la rupture avec la droite bien sur, mais aussi avec ce parti socialiste qui sert si bien les patrons, voila ce qu'il faut faire.Apres que ce soit pour aller de Paris à Dijon, ce sera pas mal, de Paris à Lyon encore mieux, si on arrive à Montélimar on sera content et peut etre à Marseille ce sera le communisme, mais prenons déjà la route ensemble, on verra qui va où en avançant.
RépondreSupprimerBonsoir Samuel LEDERMANN...Faire route ensemble, même si tout le monde ne va pas jusqu'au bout...oui, à condition toutefois que tout le monde aille bien dans la même direction !
RépondreSupprimerMerci de votre participation au débat !
Désolé, mais votre Mélanchon, il parle comme la droite quand il attaque le gouvernement socialiste.Vous voulez quoi ? L'échec de la gauche et le retour de Sarkozi et ses amis ?
RépondreSupprimerAnnot, vous permettrez que je vous nomme par votre "prénom", vous êtes impayable ! personne ne songerait d'ailleurs à vous payer !!! Pour la deuxième fois, vous intervenez sur ce blog, à propos d'un article qui de toute évidence vous a passionné...Vous hésitez bien un peu sur l'orthographe du nom "Mélenchon", pas du tout sur celle de "Sarkozy" à qui vous attribuez trop généreusement des origines corses ou italiennes !!! Et vous nous prouvez à chaque fois que votre écoute et votre compréhension des discours politiques ne peuvent être prises à défaut !
RépondreSupprimerAinsi, vous avez bien noté que Mélenchon dit la même chose que la droite. Bien entendu, la droite exige la non ratification du traité scélérat super Maastricht que Merkel et Hollandréou nous concoctent, la droite revendique une loi interdisant les licenciements boursiers, la droite manifeste pour une amnistie des syndicalistes poursuivis, etc.
Continuez à écouter aussi attentivement et n'oubliez pas de venir nous alerter !
Lucien Jay.
RépondreSupprimerLe Front n'existe pour l'instant qu'au travers des organisations qui le composent (huit il me semble). Qu'est ce qui empêche les "sans partis" de créer une association nationale du genre "les amis du Front de gauche", d'essaimer sur tout le territoire des groupes, d'agir, de participer. Dans mon coin, près de 40/50% des militants n'étaient pas encartés et ce serait mortifère de perdre toutes ces bonnes volontés.
Bonjour Lucien Jay, effectivement, cela pourrait être une solution !
RépondreSupprimerJe vous invite à poursuivre le débat sur l'article en cours...Bonne soirée !