lundi 10 septembre 2012

Avons-nous le droit de dire "on vous l'avait dit" ???
Oui, mais sans jubilation ! On aurait préféré se tromper, dans l'intérêt des travailleurs, dans l'intérêt de la France !
Je ne ferai pas de "papier" sur le pitoyable spectacle donné sur une chaîne privée par le Président du Privé, des patrons, des banques...D'autres le font, un peu partout, de manière complète et argumentée !
Au secours, Sarkozy revient, le Front National dans ses bagages ! 
Seule une véritable rupture peut durablement entraîner le Peuple à faire confiance, à s'investir, dans un changement de Société...
Là, pour les gens, gauche et droite, c'est pareil !
Prenons bien garde de leur dire que le PS n'est pas à gauche !!!

15 commentaires:

  1. bonjour,

    Effectivement, une minorité l'avait dit et n'a pas été suivie, sinon ce ne serait pas une minorité. Logique, non?

    Donc avec transition...
    La logique qui est une des bases de ma formation, se dit dans des programmes, logique positive (ex: plus je pédale vite, plus je vais rapidement) ou logique négative (ex: plus je pédale moins vite, moins j'avance plus rapidement). Ok pas évident pour suivre...

    Mais FH fait plus simple, plus évident, c'est du rétro-pédalage que tout le monde comprend avec une continuité "écopo" des 10 années précédentes, voire plus.

    En d'autres termes il suit la politique ultra-libérale qui montre jour après jour la négation des intérêts de la majorité des habitants de cette planète... qui démontre que "le PS n'est pas à gauche" et qu'il ouvre une avenue au FN.

    Quand je discute avec des gens on me dit: la droite, on a donné surtout avec Sarko, ras le bol. Le PS passe son temps à nous b... donc reste à tester le FN. C'est désolant mais c'est une réalité qui se confirme dans les urnes au fur et à mesure des élections, y compris dans des villes pas spécialement FN, Istres par exemple. Il suffit d'analyser les scores récents.
    La politique actuelle du gouvernement ne fera que les confirmer et les amplifier.
    Vrai à Istres mais aussi ailleurs...



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  2. Il faut à mon sens que, notamment les dirigeants du PCF cessent d'entretenir l’ambiguïté sur ces notions de "majorité", de "gauche", etc...
    Faut-il risquer de perdre quelques "places" ? OUI
    Faut-il risquer de perdre des mairies ? OUI
    Faut-il risquer de perdre des ressources et des permanents ? OUI
    Nos pères et grands pères, pour la Résistance à l'envahisseur nazi, pour l'aide aux Républicains espagnols, pour les grandes grèves, ont risqué...leur vie !
    Ils n'ont pas fait de calculs sordides, ils sont allés au bout de leurs convictions !

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  3. Ce qui me désole, c'est que, nous ne sommes pas ou plus dans une situation, fort heureusement, où nous devons mettre notre vie en jeu, mais que nos intérêts (ceux des salariés du privé ou fonctionnaires, petits patrons, petits commerçants, retraités ... ) sont mis en brèche par des gens qui n'ont plus aucune notion de la vie réelle, et le comble, c'est avec la complicité, le support de nombre de ces personnes du bas peuple, de la "France du bas" comme disait un ex premier ministre.
    Cela relève du masochisme, cad un état pathologique.

    Petite histoire réelle pour montrer ce décalage entre ces 2 couches de populations.
    Lors d'une vente de maisons d'une cité ouvrière locale, (dont je tairais le nom) , une des locataires de la cité a posé une question sur les possibilités de prêts. Le directeur qui est devenu par la suite pdg du groupe a répondu sans rire, en gros: "mais madame, cela fait 6 mois que vous êtes informée de cette vente de maisons et vous n'avez pas pas mis de coté de quoi acheter?" Comme si en 6 mois un salarié ouvrier, ou même cadre moyen pouvait thésauriser pour l'achat d'une maison fut-elle dans une cité ouvrière.

    On voit bien dans cet exemple vécu que nous vivons dans des mondes différents, et comme disent les psy, des domaines de références différents.

    Et ce sont "ces gens là" comme disait Brel, qui nous gouvernent alors qu'ils vivent eux mêmes sur une autre planète.
    Mais au fait, pourquoi nous gouvernent-ils? Qui les a mis au pouvoir?
    That is the question....

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  4. Jaurès c'est nous11 septembre 2012 à 08:12

    C'est le peuple SOUVERAIN qui les a mis au pouvoir pour chasser la droite et engager le pays sur la voie de l'espoir et la justice.Arrêtez de dire que le PS c'est pas la gauche, moi je suis socialiste et j'en suis fier car nous sommes les seul à concilier responsabilité et progres social. Le grand marseille est une bonne chose car nous allons y caser des socialistes qui auront de grosses responsabiltés, puisqu'un poste de vice président est promis par Monsieur Gaudin à notre camarade françois Bernardini qui va revenir au PS.On sera plus efficace à ces postes que vous avec vos banderoles et vos chansons.

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  5. J'ai un peu de mal à croire que ce message soit authentiquement une publication d'un militant du parti socialiste, tant il ressemble à une farce ! "caser des socialistes", "grosses responsabilités", mépris des luttes, compromission supposée de Monsieur Bernardini, qui d'ailleurs n'est pas au P.S....
    Non, ce n'est pas possible que Jaurès ce soit vous !!!

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  6. Associer Jaurés à Bernardini c'est particuliérement honteux!!! J'imagine pas Jaurés en train de faire 20 ans de procédure pour ne pas payer les amendes que la justice de la république lui aurai infligée...Quant aux banderoles, j'en ai vu du PS avant les élections, cela ne servirai donc qu'à attirrer des électeurs??? Bernardini trouve sa chaise trop étroite alors il lorgne sur tout ce qui est à portée... le SAN un jour, alliance avec Gaudin pourquoi pas? Le vrai scandale de la semaine derniére c'est l'opposition au projet de Miramas ( 600 emplois!) tout ça pour un clientélisme de bas étage. C'est désolant que Charroux ( qui cumule toujours) soit l'allié de circonstance de Bernardini. Je suis de plus en plus convaincu qu'il faut une réforme profonde des intercos, mais surtout qu'il faut que cela soit issue d'élection. Il ne faut plus d'interco qui ressemble à des barronnies!!!

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  7. "Demandez-vous, belle jeunesse, pourquoi ont-ils tué Jaurès ?" Parce que près de cent ans après sa mort, on peut encore lui faire dire et soutenir n'importe quoi. Que notre ami usurpateur d'identité "jauressienne" soit fier d'être socialiste nous ne lui dénions pas mais nous pouvons douter de sa filiation à la pensée de Jaurès. De gauche, cela ne veut rien dire, en effet dans le paysage politique de notre pays l'UMP est à la gauche du FN. Tout est relatif disait l'autre. Ce qu'on reproche au PS c'est de reproduire les schémas des gouvernements précédents pour répondre à la crise. Depuis que le modèle socialiste s'est effondré à l'Est, ils n'ont trouvé comme réponse que vieilles recette néo-libérles et de reproduire, de gouvernement en gouvernement, d'alternance en alternance, les mêmes schémas. Ce que nous demandons au PS c'est d'être socialiste, en toute responsabilité. car être socialiste répond à des concepts très précis. C'est une idéologie comme le social-libéralisme de Jean-Marc Ayrault et François Hollande en est une. Alors, "en groupe, en ligue en procession/ En bannière, en slip et en veste/ je suis de ceux qui manifestent..." chantait Jean Ferrat. Oui, car si votre gouvernement ne rompt pas avec le néo-libéralisme teinté de rose,la rue pourrait bien l'y contraindre. Ce sera extrêmement efficace. Lors du gouvernement de Vichy, certains (plus tard homme de gauche) pensaient sans doute qu'il était efficace de collaborer avec les Nazis que de leur résister. D'autres ont fait le choix d'Antigone, dire NON à Créon. Dire NON à la raison d'Etat. Ils ont résisté... je revendique cette filiation là. Celle de Jaurès qui affirmait "le capitalisme porte en lui la guerre, comme la nuée porte l'orage".

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  8. Effectivement la réponse du pseudo Jaures, relève plus de la provoc que d'autre chose.
    Il oublie volontairement que d'être de gauche c'est ne pas être libéral au sens de l'économie politique qui surfe pour les intérêts d'une minorité. Le PS contrairement au PG, PC et autres ne fait pas cette rupture, une vraie rupture politique, pas un faux-semblant. Les quelques mesurettes annoncées le prouvent si besoin était.

    Quant "au peuple souverain" quitte à me faire huer, j'émets des doutes sur sa réelle capacité à réagir intelligemment, logiquement tant les médias actuelles concentrés dans des groupes de pression, sont influents sur les esprits, et pas émotionnellement ou sur des coups de tête sans réflexion. On revient là au thème de la formation politique et économique des citoyens.
    Hitler a été, ne pas l'oublier, élu légalement par un peuple souverain. Si on avait fait une référendum sur la peine de mort, le peuple souverain s'y serait opposé, idem lors de la légalisation de l'avortement. Ces exemples montrent que les choix du "peuple souverain" peuvent avoir des limites.

    Le projet du village de Miramas n'est, pour moi, pas critiquable en soi. Le maire d'Istres est donc en contradiction avec les idées du PS,soutient du libéralisme avec la concurrence libre et non faussée. On ne peut avoir une chose et son contraire. Le reproche que l'on peut faire à ce projet n'est pas la destination, mais le lieu d'implantation, où qu'il soit, car il ne faut pas sacrifier des dizaines d'ha de terres fertiles, cultivées ou cultivables. Nous devons penser aux générations actuelles et futures et ne pas condamner définitivement ce qui est ou sera vital pour nourrir les populations. Des associations de défense de l'environnement ont proposé d'autres lieux sans remettre en cause le projet.

    Le pseudo Jaures, prompt à mettre en avant "le peuple souverain" s'oublie en écrivant "nous allons caser des socialistes...". mais quel est ce "nous"? Une caste politique? le peuple souverain? Pourquoi "caser" des socialiste" et pas d'autres issus d'autres mouvements? C'est au "peuple souverain" de choisir s'il veut cette intercommunalité qui représente un département réduit. Or il semble que le gouvernement ne fasse pas appel à ce "peuple souverain" pour savoir si les autochtones sont d'accord. la démocratie c'est d'abord celà, non?
    Curieux raisonnement du pseudo Jaures. mais il aura été l'artisan à animer ce blog.

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  9. Ce qui caractérise le monde contemporain ce sont, bien sûr, les crises, les contradictions, les oppositions, les fractures, mais ce qui me frappe surtout, c’est l’insignifiance. La querelle droite/gauche n’a plus de sens. Ecoutez-les biens, finalement le PS comme l’UMP racontent la même histoire. Depuis 1983, les socialistes français ont fait une politique, puis Edouard Balladur a fait la même politique ; les socialistes sont revenus, ils ont fait, avec Pierre Bérégovoy, la même politique ; M. Balladur est revenu, il a mené la même politique ; M. Chirac a gagné l’élection de 1995 en disant : « Je vais faire autre chose » et il a fait la même politique.

    Les responsables politiques sont impuissants. Ce ne sont pas des politiques, mais des politiciens qui chassent les suffrages par n’importe quel moyen. Ils n’ont aucun programme. Leur but est de rester au pouvoir ou de revenir au pouvoir, et pour cela ils sont capables de tout. Cette nullité politique se reflète partout dans la société, dans les arts, la philosophie ou la littérature. C’est dans l’air du temps, tout conspire à étendre l’insignifiance.
    Dans la monarchie absolue, pour accéder au pouvoir il fallait plaire au Roi et à la Pompadour. Dans notre « pseudo- démocratie », accéder au pouvoir signifie être télégénique, flairer l’opinion publique.
    « Pseudo-démocratie », le terme vous choque peut-être mais pour moi, si la démocratie est le pouvoir peuple, elle ne peut pas être représentative, délégataire, participative. Bref, elle ne supporte aucun qualificatif. Elle est ou elle n’est pas. Je pense que la démocratie dite représentative n’est pas une vraie démocratie. Jean-Jacques Rousseau le disait déjà : les Anglais croient qu’ils sont libres parce qu’ils élisent des représentants tous les cinq ans, mais ils sont libres un jour pendant cinq ans, le jour de l’élection, c’est tout. Non pas que l’élection soit pipée, non pas qu’on triche dans les urnes. Elle est pipée parce que les options sont définies d’avance. Personne n’a demandé au peuple sur quoi il veut voter. On lui dit : « Votez pour ou contre le Traité Constitutionnel Européen (TCE) ». Mais qui a décidé qu’il fallait ce TCE ? Qui l’a rédigé?
    Quand un ministre, de droite comme de gauche, décide telle ou telle réforme dans son secteur, il le décide tout seul avec ses conseillers et cette réforme va concerner le peuple tout entier, nous ne sommes pas dans la démocratie, d’autant que les ministres ne sont pas élus mais désignés. Ils tirent leur légitimité d’une majorité à l’Assemblée nationale autant dire un bricolage entre diverses tendances.
    Dans les sociétés modernes, depuis les révolutions américaine (1776) et française (1789) jusqu’à la seconde guerre mondiale (1945) environ, il y avait un conflit social et politique vivant. Les gens s’opposaient, manifestaient pour des causes politiques. Les ouvriers faisaient grève, et pas toujours pour de petits intérêts corporatistes. Il y avait de grandes questions qui concernaient tous les salariés. Ces luttes ont marqué ces deux derniers siècles. En fait, je crois que c’est là que s’exerce vraiment la souveraineté populaire. Quand les salariés décident de faire grève, ils le font en toute démocratie. La démocratie est dans la rue. C’est un mouvement perpétuel entre les citoyens.

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  10. C'est sans doute pour cela que l'on ne peut parler de SOUVERAINETÉ POPULAIRE...Le Peuple n'a jamais été souverain, car il n'a jamais eu réellement le pouvoir ! Je suis bref par manque de temps, désolé !

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  11. Bonjour Bernard,même si je ne participe pas c'est enrichissant de lire René Marion et Maurice Brandi, pour ce qui est (jaurès) je le laisse à ces idées blog et forum. Je continue sans débattre n'ayant pas les arguments pour, de lire ton blog qui est fort intéressant avec beaucoup d'intelligence, on peu en penser ce que l'on veut ( tu sais qu'il y a toujours des détracteurs). Ils est toujours bon de lire le savoir des Aîné(e)s(dont je fais partie mais je n'ai pas les mêmes connaissances) pas que les plus jeunes ne savent pas mais moins de vécu moins d'expérience aussi. Bonne journée a toi Bernard et à tous. Bises Bernard.
    Nicole.G.

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  12. Bonjour Nicole !
    Moi aussi je trouve ce débat intéressant...Je n'ai hélas pas beaucoup de temps ni d'énergie en ce moment à consacrer à ce blog, mais des intervenants avisés le font vivre avec beaucoup d'idées que je trouve passionnantes ! Notre "Jaurès" n'a pas, de toute évidence, les arguments nécessaires pour poursuivre son ébauche de démonstration, puisqu'il n'est pas venu répondre à ses contradicteurs !
    Je t'embrasse, bonne journée !

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  13. Je poursuis ma réflexion sur la politique, sa pratique, la démocratie et la question du pouvoir. Je vous livre le tout, un peu en vrac pardonnez-moi.
    Pourquoi les gens ne préoccupent-ils plus de la chose politique ? Je peux avancer au moins deux explications.
    La première. On peut avoir les meilleures idées du monde, si on ne prend pas le pouvoir, elles ne serviront à rien. Mais encore, faut-il savoir gouverner et rien ne garantit que quelqu’un qui sache gouverner sache pour autant accéder au pouvoir. Et que quelqu’un qui a su prendre le pouvoir sache gouverner.
    Je voudrais enrichir mon propos avec cette merveilleuse phrase d’Aristote : « Qui est citoyen ? Est citoyen quelqu’un qui est capable de gouverner et d’être gouverné. » Depuis des décennies nous voyons toujours les mêmes têtes même si on nous a fait le coup de la modernité avec Sarkozy et Royal en 2007 : un homme et une femme politique tout neuf nous disait-on. Pourtant, ils n’étaient pas des perdreaux de l’année en la matière. Partant de l’interrogation d’Aristote pour pourrait se dire Il y a des millions de citoyens en France, pourquoi ne seraient-ils pas capables de gouverner ? Parce que toute la vie politique vise précisément à le leur désapprendre, à les convaincre qu’il y a des experts à qui il faut confier les affaires. Il y a donc une contre-éducation politique. Alors que les gens devraient s’habituer à exercer toutes sortes de responsabilités et à prendre des initiatives, ils s’habituent à suivre ou à voter pour des options que d’autres leur présentent. Dans tout cela, où est la souveraineté populaire ? Plus ils se désengagent de l’activité politique, sociale et culturelle, plus ils laissent la place vacante à des bureaucrates, énarques, polytechniciens et politiciens, soi-disant responsables qui justifient la prise du pouvoir ainsi : « Je prends l’initiative parce que les gens ne font rien. » Nous sommes entrés dans un cercle vicieux où plus la politique est devenue une affaire d’experts, plus elle se professionnalise, plus les citoyens se disent : « C’est pas la peine de s’en mêler, il y en a assez qui s’en occupent, et puis, de toute façon, on n’y peut rien. »
    La seconde trouve sa source dans la dissolution des grandes idéologies politiques, soit révolutionnaires, soit réformistes, qui voulaient vraiment changer des choses. Pour des milliers de raisons ces idéologies ont été déconsidérées. Peut-être ont-elles cessé de correspondre aux aspirations, à la situation de la société, à l’expérience historique. Le 20ème siècle a été marqué par deux tremblements de terre : la Révolution d ‘octobre en 1917 où le socialisme s’est installé dans un pays : la Russie où la classe ouvrière a pris le pouvoir. Le deuxième événement, tout aussi énorme, c’est l’effondrement de l’URSS en 1991 et du socialisme réel. Quelqu’un parmi les politicards de gauche a-t-il réfléchi sérieusement –sans nous sortir des banalités convenues - sur ce qui s’est passé ? Pourquoi ce qui devrait-être une belle aventure humaniste, le communiste a-t-elle tourné au cauchemar ? Quelle est la réflexion des communistes (je ne parle pas que du PCF) sur le pouvoir ? Qui l’exerce ? Pour combien de temps ? Qui le contrôle ? Que vaut le principe zapatiste « qui commande, obéit » ? Que peut faire, que doit faire ou ne doit pas faire ce mouvement qui veut changer la société ? Qui a mené une telle réflexion ? A ma connaissance, personne mais je m’avance peut-être beaucoup avec cette affirmation car on ne peut être au courant de tout.

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  14. Les analyses de Maurice, à mon sens, demandent à leur auteur quelques qualités...Je suis toujours très sensible aux réflexions qui allient la solidité théorique sans avoir recours à des dogmes, à un profond humanisme qui fait voir les événements et l' Histoire avec un simple "bon sens", avec l' Humain d'abord qui n'est pas qu'un slogan, avec une dimension critique et autocritique ! Pas de parti révolutionnaire sans théorie, sans stratégie, sans analyses révolutionnaires ! Être révolutionnaire aujourd'hui, c'est justement être capable de poser sans complaisance tous les problèmes révélés par les insuffisances, les manquements, les "déviances" de nos aînés, de notre propre pratique...C'est sans doute l'exercice le plus difficile auquel se livre sans concession Maurice...C'est sans doute parce que c'est très difficile que si peu pratiquent l'exercice !

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  15. Cher Bernard, toutes mes réflexions sont de longue date. Peut-être que certains dirigeants du PCF auraient dû m'écouter.
    En fait qu'après tout tout cela est parce que
    Je me fous de leurs jeux et de leurs crises
    car, chante en moi "le temps des cerises".

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